Cet Audric pourrait bien être le même que celui de la Biographie, dont l'auteur a peut-être utilisé cette pièce. Audric a déjà eu à se plaindre de Marcabru, qu'il a reconnu sous le nom de Pain-perdu et qui songe à lui demander son congé. Ce gentilhomme, qui avoue sa pauvreté, a la langue aussi bien pendue que Marcabru et se montre d'une rare impertinence ; il lutte avec avantage, nous semble-t-il, contre celui qu'il appelle « jongleur ».