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Cluzel, Irénée. Princes et troubadours de la maison royale de Barcelone-Aragon. "Boletín de la Real Academia de Buenas Letras de Barcelona", 27 (1957-1958), pp. 321-373.

160,001=180,001- Frederic de Sicilia

7. Nous nous référons à Levy (Petit Dict.) : « men, esprit, pensée ». M. Ruggieri, qui comprend très différemment, lit, au vers 7 : « ch'eu men t. f. a. », et corrige, au vers 8, « en » (ms) en « non ». Il traduit :« ...egli (Frederic) conduce apertamente la sua impresa, e il suo lignaggio non vi perde né onore né pregio » (Op. cit., p. 210).
 
17. Sans doute le nom d'un jongleur.
 
27. M. Ruggieri, d'après ses corrections, comprend : « Ugo dice che Federico deve tener gli occhi aperti sugli amici, accertandosi che la loro accoglienza sia sincera e non subdola ». Nous avons déjà dit qu'il nous paraît impossible d'admettre : li oll = gli occhi:
 
34. Nous supposons que le verbe traia reste au singulier malgré deux sujets, ce qui n'est pas rare en ancien provençal. Nous avouons cependant que la forme pronominale conviendrait mieux (s·traia) et que le 2ème sujet (Cicilian) étant au pluriel, le maintien du verbe au singulier est insolite. Toutefois, si l'on comprend : « (que Dieu) tire avec honneur le roi et les Siciliens de l'aventure », il faut corriger et lire Cicilians. On pourrait encore admettre : « pero lo rei e Cicilia·n traia », ce qui justifierait le singulier du verbe.

 

 

 

 

 

 

 

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