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Cluzel, Irénée. Princes et troubadours de la maison royale de Barcelone-Aragon. "Boletín de la Real Academia de Buenas Letras de Barcelona", 27 (1957-1958), pp. 321-373.

92.1- Reina de Mallorca

4. Nous voyons dans capdelh la première personne de l'indicatif présent de capdelhar, ce qui nous permet, compte tenu de l'attribution du poème, de traduire par : « je règne ». Toutefois, comme nous le suggère le professeur J. Mouzat, il faut peut-être voir ici le substantif capdelh (Levy, Petit. Dict., maîtresse, patronne).
 
17. Pagès (op. cit., p. 207, note) traduit liey par « facilement » (lieu, leu). Il s'agit plus vraisemblablement de : ben leu (peut-être).
 
29. Nous comprenons : suffren pas (de : passar), mais on peut aussi lire : suffr' en pas (pour : patz), et traduire : « je souffre en paix, c'est à dire : sans me plaindre ».

 

 

 

 

 

 

 

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