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Dejeanne, Jean Marie Lucien. Poésies complètes du troubadour Marcabru. Toulouse: Édouard Privat, 1909.
293,001- Marcabru
V. 40. Ces derniers vers ont été diversement interprétés : Fauriel traduit : « Mais il m'ôte en attendant, en ce monde, celui qui faisait ma joie, celui que j'ai si peu gardé et qui est maintenant si loin de moi »; Diez (de Roisin) : « Mais il m'enlève ma joie, et mon bonheur. Oh ! celui qui peut s'éloigner ainsi ne tenait guère à moi ! » Ce dernier sens est seul acceptable; tey pour te (voy. Erdmannsdörffer, p. 9) est la 3e personne de l'indicatif présent, et par conséquent s'oppose à la traduction de Fauriel. |
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