V. 20. eluschar, de eluxare.
V. 25, 31. Soritz à la rime, dans les deux strophes consécutives, ne saurait être le même mot ayant un sens identique ; il tient peut-être la place d'un nom propre terminé en itz au vers 31.
V. 54. menda et decha ont à peu près le même sens : « tare, imperfection ».
V. 67. garaignitz est peut-être le même mot que garaingnos avec une terminaison différente, amenée par la rime, et signifiant « hargneux ». Voy. Körting, 4495.
V. 72. Ce Bazan pourrait être le même que le Baza de VII, v. 53, qui paraît être un parangon en fait d'amour, puisque c'est folie que de vouloir l'imiter. Pour Bertau, cf. l'article de M. Albert Counson (Mélanges Chabaneau, p. 405). Bertau désignerait un sot, un imbécile. M. A. Thomas (Annales du Midi, V, 499) propose de lire bercau, qui serait identique au limousin bargau, « frelon ». |