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Dejeanne, Jean Marie Lucien. Poésies complètes du troubadour Marcabru. Toulouse: Édouard Privat, 1909.

293,022- Marcabru

V. 19. Diez (Leben, p. 39) qui a traduit ce chant de croisade, le dit antérieur à 1149, date de la chute de la dynastie des Almoravides, et propose l'année 1147. M. Suchier (loc. cit., 135) le place en 1146 ou au commencement de 1147. M. P. Meyer pense que cette pièce (dont il traduit les deux derniers couplets) a été composée probablement à la cour de l'empereur Alphonse ; il fait remarquer que les derniers vers indiquent clairement qu'alors Louis VII ne s'était pas encore croisé. Elle ne peut donc être postérieure au commencement de l'année 1147, mais elle peut être antérieure de plusieurs années, puisque rien n'oblige à croire qu'elle ait été composée au moment précis de l'expédition d'Almeria. M. Lewent (loc. cit., p. 42) la place dans les premiers mois de l'année 1146.
 
V. 37-38. On pourrait comprendre avec Milá : « Peu s'en faut que Marcabru ne se sépare de Jeunesse quand Richesse la fait faiblir. »

 

 

 

 

 

 

 

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