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Dejeanne, Jean Marie Lucien. Poésies complètes du troubadour Marcabru. Toulouse: Édouard Privat, 1909.

293,026- Marcabru

V. 4. alensa, lisez : alen[s]a ; cf. Stichel, pp. 11 et 83. Ce verbe a les deux formes alentar et alensar ; Raynouard ne donne que la première.
 
V. 14-5. Le sens nous paraît être : « Il a rendu sa voix tellement claire, expressive, qu'elle en a compris la signification, c'est-à-dire les intentions de l'oiseau, ce qui l'inspire. » Cf. IX, 2, où entensa signifie « sens, compréhension des choses, inspiration ».
 
V. 22, tensa. Raynouard (V, 345) traduit : « ou quel amour tu chicanes ».
 
V. 31-2. Sur c final au lieu de t, voy. Erdmannsdörffer, p. 10, 3.
 
V. 40-3. Sur les rimes en eu pour iu, voy. ibid., p. 9.
 
V. 46. plevida. Le mot est ici adjectif, tandis qu'au v. 36 il est substantif ou adjectif pris substantivement : « fiancée ». La correction proposée en note est donc inutile.
 
V. 50. qu'en; corr. quon, « comme » (?).
 
V. 50-5. Nous ne voyons pas le sens de ce passage ni la correction. Nous avons songé à remplacer desiratz par desidatz, « réveillé » : « L'abbé sera réveillé, mais nous aurons le loisir nécessaire. »
 
V. 57. janzir ; corr. jauzit (?).
 
V. 82. Sur ardi, voy. Levy, s. v. ardit, et P. Meyer, Chanson de la Croisade, au Glossaire.

 

 

 

 

 

 

 

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