M. Paul Meyer y attribue cette tenson, non pas à Bertran d’Alamanon, mais à Bertran d’Aurel. Il me semble cependant que c’est bien plutôt le premier qui a tensonné avec Sordel (voyez le commentaire.)
Il me semble inutile de citer les variantes.
Voyez, sur la forme rythmique de cette tenson : de Lollis, Sordello, p. 131 ; Maus, p. 115, nº 510. Ce sont des coblasdoblas de huit vers de dix syllabes. Voici la disposition des rimes :