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Johnston, Ronald C. Les poésies lyriques du troubadour Arnaut de Mareuil. Paris: Droz, 1935.

030,008- Arnaut de Maruelh

1. On pourrait à la rigueur garder amors comme forme de l'accusatif, puisqu'il s'agir d'une personnification ; mais R seul vient à l’appui de A ; nous adoptons donc la forme normale donnée par la grande majorité des mss.
 
14. Dans ce vers languis doit avoir un sens transitif, bien que les lexiques et les glossaires que nous avons consultés (Raynouard, Appel, Bartsch, Lévy Suppl. — le mot languir ne figure pas dans le Petit Dict. de Lévy) ignorent cette possibilité. Mais le fait que languit, part. passé, peut signifier « abattu » (selon Raynouard) pourrait impliquer un emploi transitif du mot.
 
19. agra·m ops = il m'aurait fallu. Voir O. Schultz-Gora, A. E., p. 130. « Der Konditionalis b, der ja auf dem lat. Plusquamperfekt basiert, kann auch den Sinn eines Konditionalis der Vergangenheit haben, aiso amera ' ich würde geliebt haben ' bedeuten... »
Le vilain portier dont il est question, aurait évité au poète toutes ses souffrances, s'il lui avait défendu d'entrer chez la dame.
 
21. Dans notre traduction nous avons pris mos sabers comme une construction absolue ; on pourrait également le prendre comme sujet de aucis, et dans ce cas la traduction serait « je crains que ma connaissance d'elle ne me tue ».
 
26. tem comme espèce d'interjection, n'entraîne pas le subjonctif. Voir Aissi cum mos cors es, vers 12.

 

 

 

 

 

 

 

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