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Audiau, Jean. La Pastourelle dans la poésie occitane du Moyen Âge. Paris: E. de Boccard Éditeur, 1923.

248,032- Guiraut Riquier

9. Fresqueira : Levy (III, 598) traduit « feuillage frais », Raynouard (L.R., III, 392) « lieu à l'ombre » ; je préfère cette dernière signification ; comment d'ailleurs expliquer sus dans l'hypothèse de Levy ?
 
54. Riquier n'a pas, en effet, l'air de la reconnaître; mais cette question de la bergère réveille ses souvenirs (cf v. 59). Il y a peut-être un jeu de mot sur desconoguda, insensée (?)
 
63-65. Je ne saisis pas très bien le sens de ces trois vers. Le mot emenda est peut-être amené par venda. Pourquoi ne comprendrait-on pas, par exemple : vous parlez toujours de me faire payer ? La patience du poète n'est-elle pas en effet le prix auquel la bergère lui promet — ou ne lui refuse pas absolument — son amour? (Cf. v. 75).
 
66-67. Cf. ci-dessus, Notes, IX, 86-87.

 

 

 

 

 

 

 

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