Notes - Anmerkungen - Notes - Notas - Notes - Note - Nòtas
Dejeanne, Jean Marie Lucien. Poésies complètes du troubadour Marcabru. Toulouse: Édouard Privat, 1909.
293,034- Marcabru
V. 15. Litt. : « Ces médisants (veuille Dieu confondre et détester leurs langues tranchantes !) mettent... ».
V. 24-5. Idée fréquemment exprimée. Cf. XVII, v. 33-4.
V. 26-7. A rapprocher de XXXI, 51-2, et malvat avar de ric savai.
V. 31. Cf. XL, 19.
V. 33. Sur copar, voy. Levy (I, 356), qui cite un vers de G.-P. de Cazals : Copat d'avol capel, et propose de traduire copar par « couvrir ». M. Levy cite également de la pièce V les vers 18-23, où au v. 23 copatz et copada (corr. de copaire) ont le sens de « coiffé, coiffée ». Cf. Raynouard (II, 487) : Qui porta cofa cornuda.
V. 34. dreg ni tort. Il s'agit d'un état physique ; cf. XVIII, v. 24-5, et VI, v. 39.
V. 46. A'n Cabrieira. Probablement Guiraut de Cabrieira, qui cite Marcabru dans Cabra joglar, et ne mentionne aucun troubadour postérieur. Cf. Milà, Trovadores, 2e édit., pp. 273-4. |
|