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Audiau, Jean. La Pastourelle dans la poésie occitane du Moyen Âge. Paris: E. de Boccard Éditeur, 1923.

266,005- Joan Esteve

67. Je considère atracha, comme un participe passé : approchée ; c'est à dire nous n'avons fait, ni n'avons été sur le point de faire, aucune folie.
 
69. Atrag est, à mon sens, un substantif. La folie (que l'on peut faire entre amoureux) attire toujours, aussi agit-on bien, en y résistant.
 
76-77 Cf. ci-dessus, Notes, IX, 86-87.
 
78. Antracha. Ni Levy, ni Raynouard ne relèvent ce mot ; seul Rochegude le signale, Glossaire Occitanien, p. 17, avec la traduction « parfait ». Peut-être est-ce là une corruption due au scribe de C, pour entacha, fém. de entait = entach < lat. intactus ; cf. anc. fr. entait ; ou bien doit-on lire e·n tacha, « et s'y applique »? Je préfère la première hypothèse.
 
102. Mar ; cf. Notes XIV, 42.
 

 

 

 

 

 

 

 

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